Chez nos amis confrères...
LE CALVADOS ( France )…
Chapitre de la confrérie du Calvados.
Nous avons profité d’un week-end prolongé pour visiter quelques endroits de la région. Honfleur, Deauville, Trouville,… . L’occasion de prendre du bon temps a une table . Visite d’une distillerie de calvados ( et dégustation bien sure ).
ORDRE DES PREUX COMPAGNONS DE LA TERRE DE BRY
L’Ordre des Preux Compagnons de la Terre de Bry est une confrérie gastronomique louvièroise qui a vu le jour en 1969.
L’ordre est une émanation de l’Association “Amitiés Belgo-Charentaises” créée à son origine pour perpétuer le souvenir des liens de guerre nés entre citoyens de France et Belges de la Région du Centre, ce qui explique le choix de la toge noire et de l’épitoge cognac : le noir pour la région du Centre et le cognac pour les Charentes.
Sa devise est : “Semper Floreat Amiticia” – “Que toujours fleurisse l’Amitié.
Chapitre des Marrons de Redon ( France )
Après un accueil très chaleureux le vendredi soir , nous sommes partis assister au Chapitre du Marron de Redon au cœur d’une splendide bâtisse où s’est déroulé le petit déjeuner dans un cloitre magnifique . Nous avons été accueilli par Jean-Louis Ruault l’époux de la Fée Magistrale des Fées Carabosse Chantal Ruault. Au cours de ce chapitre fut remis le prix Littéraire à Nicole Garnier Pelle pour son livre ” Vatel ” Les fastes de la table sous Louis XIV, par la Confrérie du Marron de Redon . C’est Anne-Marie Boeur de la Confrérie Royale des Herdiers d’Ardenne qui fut intronisé Ecuyer par la grand maître de la Confrérie! Le repas qui s’en suivi fut excellent et boissons comprises …
Les Bouchoteurs de penestin ( France )
Le lendemain de la veille , un accueil chaleureux avec le petit déjeuner très raccourci , le défilé dans les rues de Pénestin fut magnifique , une messe eu lieu avant le chapitre qui se déroula de façon très cool sur une place du village. C’est Anne-Marie Boeur de la Confrérie Royale des Herdiers d’Ardenne qui fut faite Chevalier des Bouchoteurs de Pénestin ! De retour à la salle qui nous accueillit un apéritif nous fut servi avant de nous faire découvrir le buffet géant de fruits de mer ! Le tout à volonté . Après les fruits de mer et un trou normand ( mais Breton ) à base de moules ( Délicieux avec l’ajout d’un vin blanc sec ) des moules également à volonté nous attendaient ! Ce fut un repas Pantagruélique . Les boissons étaient aussi comprise dans le prix . Un chapitre exceptionnel .
Chapitre du chou fleur de St Omer ( France )
Chapitre ( organisé tous les deux ans ) de la Confrérie du chou-fleur de Saint-Omer. Après une magnifique balade dans le marais Audomarois , un défilé dans les rues de Saint-Omer , un serment prononcé par Jean-Marie Azelart de la Confrérie Royale des Herdiers d’Ardenne à la motte Castrale lui demandant de promouvoir le chou-fleur de Saint-Omer , nous nous sommes rendus à ” La Guinguette ” de Tilques où un excellent repas et une superbe animation nous attendais . Merci à toute la Confrérie de votre chaleureux accueil .
PTITS LOUPS
La confrérie des p’tits loups ( confrérie filleule des Herdiers ) , a été créée le 4 novembre 2016. Elle tient son nom d’une légende provenant de la commune de Gouvy et plus particulièrement du lieu-dit “le trou du loup” à Honvelez, petit hameau près de Courtil, où, il y a plus d’un siècle, le loup aurait disparu y laissant encore aujourd´hui des traces … loup que nous entendons faire revivre via notre habit officiel.
Voici un extrait de la légende du trou du loup à Honvelez…
“Il y a plus d’un siècle que l’on n’a plus vu de loup dans le pays. Auparavant, les incursions de ces animaux, même au cœur des villages, n’étaient pas rares durant les hivers qui étaient beaucoup plus longs et plus rigoureux que maintenant.
On tendait donc des pièges à l’animal pour protéger le bétail et les habitants des hameaux isolés. Les piégeurs creusaient un trou large et profond, dont la base inférieure était plus grande que l’ouverture supérieure, de manière à ce que l’animal piégé ne puisse s’appuyer sur les parois pour s’en échapper. On jetait une bête crevée – un mouton, un veau… – dans le trou puis l’orifice supérieur était ensuite dissimulé à l’aide de branchages fragiles et de quelques touffes d’herbes.
Il ne restait plus qu’à attendre. Attiré par l’odeur de la bête, l’animal ne tardait pas à se retrouver au fond du piège et était mis à mort.
Sa dépouille était empaillée, clouée sur un tréteau et exhibée dans le village, de maison en maison, où les rabatteurs recevaient des pourboires de la population soulagée.